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Ces innovations qui font bouger le métier de la surveillance
Ces innovations qui font bouger le métier de la surveillance
Ils font des rondes dans les établissements, les entrepôts, sont silencieux, autonomes et oeuvrent 24 heures sur 24, même de nuit. Dotés de capteurs, de caméras à infrarouge, capables de déceler la moindre intrusion, de détecter la fumée, et d’enregistrer les données en temps réel, les robots de surveillance sont montés en flèche depuis deux ans. Mais ils sont encore au stade de l’expérimentation. Le patrouilleur e-vigilante de la société Eos Innovation, malgré des débuts prometteurs – Parrot y a investi un million d’euros – a eu du mal à percer. La société a été mise en liquidation judiciaire en mars 2017. Il a depuis repris du service sous la bannière de la nouvelle société UBECOME (ex-Econobots, l’entité robotique du groupe Econocom), qui avait déjà lancé en 2016 un robot de surveillance dans les data centers baptisés « Captain DC ». Le secteur de la sécurité, prometteur, pousse les acteurs de la robotique. L’américain Knightscope, après les déboires de son robot K5 parti se jeter dans une fontaine, a sorti l’an dernier un nouveau modèle K7. Le robot patrouilleur transmet toutes les informations récoltées à un centre analysant et triant ces données. Gamma 2 Robotics a lancé Ramsee en partenariat avec une grosse entreprise de la sécurité, Hexagon Safety & Infrastructure. Et le chinois AnBot peut même, sur un signal, sortir un dispositif de sécurité en cas de trouble.
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Ces innovations qui font bouger le métier de la surveillance
Ces innovations qui font bouger le métier de la surveillance
Ils font des rondes dans les établissements, les entrepôts, sont silencieux, autonomes et oeuvrent 24 heures sur 24, même de nuit. Dotés de capteurs, de caméras à infrarouge, capables de déceler la moindre intrusion, de détecter la fumée, et d’enregistrer les données en temps réel, les robots de surveillance sont montés en flèche depuis deux ans. Mais ils sont encore au stade de l’expérimentation. Le patrouilleur e-vigilante de la société Eos Innovation, malgré des débuts prometteurs – Parrot y a investi un million d’euros – a eu du mal à percer. La société a été mise en liquidation judiciaire en mars 2017. Il a depuis repris du service sous la bannière de la nouvelle société UBECOME (ex-Econobots, l’entité robotique du groupe Econocom), qui avait déjà lancé en 2016 un robot de surveillance dans les data centers baptisés « Captain DC ». Le secteur de la sécurité, prometteur, pousse les acteurs de la robotique. L’américain Knightscope, après les déboires de son robot K5 parti se jeter dans une fontaine, a sorti l’an dernier un nouveau modèle K7. Le robot patrouilleur transmet toutes les informations récoltées à un centre analysant et triant ces données. Gamma 2 Robotics a lancé Ramsee en partenariat avec une grosse entreprise de la sécurité, Hexagon Safety & Infrastructure. Et le chinois AnBot peut même, sur un signal, sortir un dispositif de sécurité en cas de trouble.